Pour qui aime Farmerama - Hit

j'ai pas pu m'en empêcher
petit bouillon du soir
c'est pour vous preparer demain MDR

 

A demain

 

POUR MOI TELE S.W.A.T j adore

a demain

 

tout le monde
une pensée pour lecharentais qui
j'espère n'est pas dans l'eau
chouette ingrid demain!!!!
mais sa risque d'être chaud que sur 1 terrain
plante et drops euh la
mais bon j'aime bien alors je ferais.
voila maintenant à la télé !!!
il y a ma copine marleau
je vous souhaite une bonne soirée ainsi
qu'une bonne et douce nuit à bientôt

 

bonsoir les loulous ,
et bien la journée et enfin fini et je suis enfin poser

houa ou ça claque ,j'imagine bien ton fils mettre le son à fond ,les murs doivent trembler
merci Elisabeth , je n'connaissez pas

alors on va croiser les doigts jusqu'au 12 décembre tu nous tien au courant

merci Charlotte pour les poèmes

cool du bouillon , comme y a du choix , je vais prendre la 2 éme

le département est en alerte ? j'ai pas vue les infos
Pascale viens nous dire si tout va bien c'est la galère en ce moment la météo
aller je file devant la télé avec la soupe et les chocolats , comme Dominique devant S W A T
bonne soirée les tits loups , douce nuit , à demain

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Un petite douceur pour bien dormir

 

Bonsoir,

+ 1 vote

La pub est terminée, je retourne devant la même série que vous

Bonne nuit remplie de beaux rêves et à demain

 

Que de douceurs ce soirs !!! c'est un plaisir !.....Dommage, j'ai raté Marleau.... et du coup je vais me pieuter !!!

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A VOTEE

 

pour remplacer celui qui nous boude !!!!
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et tout particulièrement à Dominique qui s'est levée aux aurores
mais qui nous a laissé le p'tit déj avant d'aller au boulot !!!​

 

Les dictons du 6 novembre :
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À la sainte Mélanie de la pluie n'en veux mie.

Quand en novembre il a tonné, l'hiver est avorté.

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bonjour les tits loups ,
le tit déj est déjà prêt les dictons sont là
je vous rajoute des viennoiseries

un p'tit café
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bonne journée les loulous , gros bisous

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6 novembre - Journée Internationale ​

pour la préservation de l'environnement en temps de guerre​

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A l’occasion de la Journée internationale pour la prévention de l’exploitation de l’environnement en temps de guerre et de conflit, le 6 novembre, le secrétaire général des Nations Unies a souhaité faire connaître son message :
Depuis que la guerre existe, l’environnement et les ressources naturelles en sont les victimes silencieuses. Les récoltes sont incendiées, les puits pollués, les sols empoisonnés et les animaux tués.
Les objectifs ne sont pas toujours les mêmes : on peut vouloir se procurer un avantage stratégique, démoraliser des populations locales, venir à bout d’une résistance ou tout simplement nourrir ses soldats. Mais, même lorsqu’elles ne sont pas intentionnelles, les conséquences sont toujours catastrophiques.
Nous assistons à des actes de destruction purs et simples, notamment le rejet de polluants et de substances dangereuses. Nous sommes témoins de bouleversements sociaux, comme la création de populations de réfugiés qui, à leur tour, mettent plus rudement les ressources à contribution.
Et puisque la plupart des conflits se déroulent dans les pays pauvres, nous constatons les ravages économiques infligés par les guerres à des populations vulnérables qui sont les moins outillées pour faire face aux dégâts subis par leur environnement et pour surmonter un ralentissement du développement.

Dégâts collatéraux

Pendant la guerre du Golfe de 1991, les puits de pétrole du Koweït ont été délibérément incendiés et des millions de litres de pétrole brut ont été déversés dans les voies d’eau.
Au Cambodge, 35 % de la couverture forestière a été détruite pendant les 20 ans qu’ont duré la guerre civile et les troubles.
Au cours du conflit en Angola, le nombre des animaux sauvages a diminué de 90 % et, pendant la guerre du Viet Nam, des millions de tonnes d’agent orange ont été pulvérisées au-dessus des jungles de ce pays, ce qui a eu pour effet de dépouiller de toute végétation de vastes zones dont certaines ne peuvent toujours pas être cultivées aujourd’hui.

L’environnement est protégé en temps de guerre par un certain nombre d’instruments juridiques, notamment la Convention sur l’interdiction d’utiliser des techniques de modification de l’environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles (1976), la Convention sur les armes chimiques et la Convention sur la prohibition des mines antipersonnel (1997).
En outre, le Protocole additionnel I aux Conventions de Genève interdit l’utilisation de " méthodes ou moyens de guerre qui sont conçus pour causer, ou dont on peut attendre qu’ils causeront, des dommages étendus, durables et graves à l’environnement naturel " et dispose que " la guerre sera conduite en veillant à protéger l’environnement naturel contre des dommages étendus, durables et graves ".
Mais ce qui fait cruellement défaut, ce sont les mécanismes voulus pour assurer l’application de ces conventions. De fait, il faudra peut-être que nous renforcions le chapitre " vert " des règles du droit humanitaire international.
Une convention pour protéger l'environnement

Au niveau pratique, l’ONU réagit de plus en plus activement lorsqu’une guerre entraîne une dégradation de l’environnement : elle s’efforce d’évaluer les dégâts, de nettoyer les zones contaminées et d’aider les pays à se doter des moyens voulus pour gérer leur environnement après le conflit. C’est ce que le Programme des Nations Unies pour l’environnement a fait dans les Balkans et c’est ce qu’il fait aujourd’hui en Afghanistan, en Iraq, au Libéria et dans le territoire palestinien occupé.

Les technologies guerrières et armements modernes continuent à se développer rapidement, ce qui pourrait avoir des conséquences catastrophiques sur l’environnement.
En même temps, on laisse trop de conflits s’envenimer pendant des années, voire des décennies, et épuiser petit à petit les ressources naturelles.
Au moment où nous célébrons la Journée internationale pour la prévention de l’exploitation de l’environnement en temps de guerre et de conflit armé, prenons conscience du fait qu’aucune guerre et aucun conflit ne se déroule trop loin de nous pour avoir un effet sur notre environnement, quel que soit l’endroit où nous habitons.

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Et prenons l’engagement de faire ce que nous pourrons pour lutter contre cette menace commune et pourtant souvent oubliée qui met en péril nos vies et notre bien-être.

 

6 novembre - Journée Mondiale sans papier​

Nous croulons sous le papier, c'est un euphémisme. Pourtant les différentes tentatives de "bureau sans papier" ou de société sans papier se sont pour le moment révélées être des échecs.
Développement durable

La dématerialisation des documents présente pourtant un intérêt colossal pour les entreprises et la société en général.
Enjeu de développement durable quand on songe aux ressources naturelles utilisées pour produire le papier, enjeu économique évident si on pense aux coûts induits par les stockages physiques de documents et le prix des m² ainsi utilisés !

A l'heure de l'informatique "dans les nuages" (Cloud Computing), des solutions se font jour et permettent d'envisager une amélioration dans les années à venir.
Optimisme mesuré

Mais revenons à notre journée sans papier (à ne pas confondre avec la journée des sans-papiers !), la World Paper Free Day, instaurée pour exhorter les entreprises à abandonner le papier.
Notre optimiste semble réservé si on observe que les promoteurs de cette journée prêchent surtout pour leur propre paroisse dans la mesure où on y retrouve des géants du stockage de documents et de la GED (gestion électronique des documents)...

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Comment réduire la consommation de papier ?

Ces statistiques impressionnantes correspondent bien entendu à une moyenne. Certaines sociétés continuent d’imprimer de gros rapports afin de les consulter sur un support physique plutôt que sur ordinateur. Il existe quelques astuces pour réduire la consommation de papier au sein d’une entreprise :

• Ne pas imprimer les emails systématiquement
• Privilégier la lecture des rapports sur ordinateur, notamment lors de l’étude d’un marché public
• Si l’impression d’un rapport est important pour le consulter, il convient de sélectionner les pages qui sont réellement utiles au format papier
• Utiliser une tablette informatique lors d’une réunion pour illustrer les propos
• Lors d’une présentation, ne pas imprimer le diaporama et privilégier l’envoi par email à chaque participant
• Digitaliser les ressources
• Communiquer les documentation par email, espace de stockage dématérialisé ou par clé USB
• Utiliser des formulaires électroniques pour effectuer des sondages
• Ne pas imprimer les plannings, privilégier la solution Organilog
• Dématérialiser les fiches d’interventions avec Organilog
• Envoyer la fiche de paie sans papier, si les salariés acceptent
• Limiter la consommation excessive de brochures commerciales qui ne seront pas toutes utilisées
• Envoyer des emails pour la communication interne, y compris pour le journal de l’entreprise
• Imprimer recto-verso
• Réduire la taille de caractère avant d’imprimer ou afficher 4 diaporamas par page lors de l’impression d’une présentation
• Bien utiliser la fonction d’aperçu avant impression pour éviter les erreurs qui nécessiteraient de ré-imprimer
• Recycler les papiers pour servir de brouillon à papier

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Pour les courageux quelques spécialités culinaires en direct de chez les Vikings avant d'attaquer la quête
Bon appetit

Chaque culture a ses propres traditions et les aliments qui leur sont propres. La Suède a son traditionnel julbord de Noël , les Chinois consomment un certain nombre d’aliments pour symboliser le Nouvel An prospère, et les Américains ont leur traditionnel turducken de Thanksgiving .
L'Islande ne fait pas exception. Pendant le carême et le dimanche de Pâques seulement, le lundi gras est le bolludagur (journée de la crème), le mardi gras est le Sprengidagur (journée éclatante), où l'on est encouragé à se gaver de soupe aux pois et de viande salée. pour les bonbons dans les magasins, et Pâques est marquée par la petite nation engloutissant plus de 700 000 œufs en chocolat fourrés aux bonbons! Et si vous étiez en Islande le 23 décembre, vous auriez remarqué l’arôme distinct de la raie fermentée, que les Islandais bouillonnent et dévorent pour órlaksmessa.
Ensuite, il y a tout le mois de Þorri, le quatrième mois du calendrier païen islandais (de la mi-janvier à la mi-février) marqué chaque année par un Þorrablót, ou un grand festin.

Un Þorrablót typique. Délicieux!
Après la Seconde Guerre mondiale, la tradition Þorrablót a été ressuscitée en Islande, où les Islandais se sont rassemblés pour célébrer Þorri en se régalant d’aliments traditionnels dans la campagne islandaise, mais qui étaient en train de perdre leur mode de vie pour devenir plus urbains. Nous ne voyons pas pourquoi ces aliments, ou "orramatur", ne seraient plus à la mode ... Je veux dire, jetez un œil à vous-même à 6 aliments qui sont un aliment de base de chaque orrablót:
1. HÁKARL - REQUIN POURRI

OK, donc "pourri" est un mot fort. Il préfère être appelé "fermenté". Hákarl est un requin du Groenland qui est enterré dans une fosse graveleuse peu profonde et qui a été abandonné pendant 6 à 12 semaines sous de grosses roches pour la vidange de tous les fluides. La viande de requin est ensuite coupée en tranches et suspendue pour ... fermenter ... pendant environ 7 mois. Ne vous inquiétez pas si vous ne pouvez pas retenir votre grimace ou votre réflexe nauséeux lorsque vous goûtez au hákarl pour la première fois. Il y a de bonnes raisons pour que les Islandais poursuivent leurs activités avec des coups du puissant esprit Brennivin.

Requin suspendu près du musée du requin à Bjarnahöfn. La croûte brune sera coupée avant que la délicatesse puisse être dégustée.
Vous pouvez constater par vous-même comment le hákarl est traditionnellement préparé (et goûter aux marchandises) en visitant le musée des requins de Bjarnarhöfn .
2. SÚRSAÐIR HRÚTSPUNGAR - TESTICULES DE SOUR RAM

Ouaip. Acide. Ram's. Testicules. Celui-ci est un simple petit plat: les testicules sont lavés, bouillis, pressés dans des moisissures et traités à l'acide lactique. Le résultat final est une miche de testicules de bélier aigre qui peut être tranchée un peu comme une miche de pain frais. Seulement ce n'est pas du pain frais. Ce sont des testicules de bélier aigre.

Un service patriotique de súrsaðir hrútspungar (photo de Stefán Birgir Stefáns )
3. SVIÐ - TÊTE DE MOUTON BOUILLIE

Le Svið est un mets délicat qui est consommé toute l'année par certains et qui ne constitue pas un goût acquis une fois que vous êtes dépassé par le choc initial de voir un mouton brûlé vous regarder de votre assiette. Pour préparer svið, la tête du mouton est enlevée pour enlever tous les poils et bien nettoyée. La viande est ensuite coupée en deux et cuite jusqu'à ce qu'elle soit cuite, mais pas trop longtemps avant que la viande ne commence à se détacher - la présentation est tout ce qu'il y a à voir dans le monde culinaire. La viande est très savoureuse et les Islandais en mangent même les yeux. Pop!

Svið avec un côté de navet et purée de pommes de terre. Ça va mettre des cheveux sur votre poitrine.
4. SVÍÐASULTA - CONFITURE DE TÊTE DE MOUTON BOUILLIE

Donc, il y a svið, et puis il y a sviðasulta. "Sulta" signifie confiture, donc c’est littéralement une confiture ou une gelée de svið. La viande de la tête du mouton et les jus riches en gélatine du crâne sont tous pressés dans un moule puis laissés à refroidir. Le jus se solidifie en une gelée et il vous reste un fromage à chair charnue à découper et à savourer à votre festin orrablót.

Sviðasulta prêt à être apprécié par tous! (photo de Stefán Birgir Stefáns )
5. LIFRAPYLSA - SAUCISSE AU FOIE

Les Écossais seraient familiers avec le concept de lifrapylsa, car il est assez similaire au haggis. Le foie et les tissus adipeux d'un agneau sont broyés et malaxés avec de la farine de seigle et de l'avoine, puis placés dans la paroi de l'estomac, cousus et cuits à la perfection. C'est un aliment de base þorrablót, et assez populaire à d'autres moments de l'année, aussi.

Lifrapylsa en devenir. Ça a l'air bien, hein?
6. SLÁTUR / BLÓÐMÖR - SAUCISSE DE SANG

Le boudin noir existe dans de nombreuses cultures. Ce n'est donc pas quelque chose de particulier au Þorrablót islandais, mais il mérite tout de même une mention, car cela peut surprendre certains visiteurs. C'est le même concept que lifrapylsa, mais le foie a été remplacé par du sang d'agneau ou de mouton, ce qui lui confère une coloration sombre et presque noire. La texture est bien sûr et le goût est ... indescriptible.

La couleur la plus sombre sur la gauche est bleue, tandis que la saucisse plus claire est la chair de poisson.
Un rapide sondage auprès des Islandais dans le département web et marketing de Nordic Visitor a révélé un slut appelé "dogfood", "glorious!" et "contrairement à tout ce que j'ai jamais goûté" en 10 secondes. Vous devrez donc l'essayer vous-même.
QUELQUE CHOSE D'UN PEU MOINS AUDACIEUX ...

Si vous vous retrouvez à une fête Þorrablót et que vous êtes un peu timide avec toutes les nouvelles spécialités, ne craignez rien. Le hangikjöt (viande d'agneau ou de mouton pendue et fumée), harðfiskur (poisson séché au vent ... pensez au poisson séché) et le pain de seigle noir au beurre islandais crémeux sont sucrés, copieux et délicieux!

Le délicieux pain de seigle noir islandais est excellent ... mais ne mangez pas trop
Rappelez-vous simplement que les Islandais ont surnommé affectueusement leur pain de seigle " þrumari" (pain de tonnerre) en raison des conséquences gastriques d'une consommation excessive

 

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AMIENS ( somme ) Les feuilles mortes sont revalorisées en ENERGIE .
Depuis 6 Ans , Amiens métropole utilise les déchets VERTS de ses arbres pour les valoriser .
4000 Foyers chauffés grâce aux feuilles mortes !
Les feuilles mortes éclairent aussi la ville .....


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MERCI ! pour les belles images du loup . BISOUS