Pour qui aime Farmerama - Hit

Discussion dans 'Le coin des bavards' démarrée par triana59, 28 novembre 2020.

Chère utilisatrice, cher utilisateur,

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  1. thethedhs

    thethedhs Légende vivante du forum

    pour [​IMG]... qui va de ma part féliciter son fiston !!! Bravo... les récompenses sont là où est le bon travail !!!
    A tes deux enfants je souhaite d'abord des bonnes vacances pour se ressourser et de continuer une aussi belle ascension !!!

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  2. magali51

    magali51 Légende vivante du forum

    oups , j'ai oublier :oops:merci Madeleine ;)

    et merci itsme , j'avait pas vue ton poste :oops:quand j'vous dit que j'perd la tête :eek:
    bonne nuit les p'tits loups , à demain
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  3. itsme64

    itsme64 Empereur du Forum

    Merci ! Oui on va profiter des vacances .. enfin surtout eux qui en ont plus que nous.

    Ah ben bravo ... y va y avoir règlement de comptes dans la famille , c'est sûr ! :music:

    Pour t’accompagner
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  4. M-Vegas

    M-Vegas S-Moderator Team Farmerama FR

    Bonsoir,

    +1 vote et je retourne au match ;)

    Bonne soirée et bonne pêche :)
     
  5. mamounettechantal

    mamounettechantal Légende vivante du forum

    un gros coeur au chocolat pour magali
    moi aussi je souhaite que tu retrouve un travail
    tu joue depuis 2014 avec un niveau de 174
    moi je joue depuis 2011 avec un niveau 99
    et tu as des fermes secondaires et ben c'est deja un boulot a temps plein.....
    te met pas la rate au court bouillon comme on dit chez nous
    je te souhaite bonne nuit


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  6. itsme64

    itsme64 Empereur du Forum

    Ton expression m'a inspiré une petite recherche !

    Origine
    Voilà une expression sur laquelle il existe peu d'informations.
    Elle semble récente (XXe siècle) et, si un de ses éléments a fait l'objet d'un titre de San-Antonio, "la rate au court-bouillon" en 1965 ([​IMG]), l'expression elle-même se trouve en 1970 dans "la méthode à Mimile - l'argot sans peine" d'Alphonse Boudard et Etienne Luc.

    Elle est à mettre en parallèle avec les mauvais traitements qu'on peut infliger à son propre corps lorsqu'on se fait du souci, comme dans les expressions de même sens "se faire du mauvais sang" ou bien on "se faire de la bile".
    Alors rien n'interdit d'imaginer une forme d'auto-torture consistant, parmi de nombreuses autres possibles, à mettre notre pauvre rate à cuire au court-bouillon.

    Est-ce que cette locution vient de l'image amusante du titre du premier ouvrage cité, ou bien a-t-elle des racines plus anciennes, nul ne semble le savoir.

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  7. magali51

    magali51 Légende vivante du forum

    hummmmmmmm la c'est le summum avant d'aller dormir :pmerci Chantal :D

    tu a bien fait , je ne connaissez pas non plus cette expression , comme quoi sur le topic on en apprend tout les jours :D
    bravo Sandrine (sandy51400) pour ton image :D
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    allez zou au lit :p
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  8. isabelle240765

    isabelle240765 Duc du Forum

    bonsoir

    félicitations a ton fils itsme64


    félicitations Magali pour ton nouveau niveau,et courage, tu vas retrouver du travail et pour le jeu ne t inquiète pas , c est un jeu amusant avant tout ,pour les cadeaux et bien ce n est pas grave tu envoies a tour de role, profites en pour te reposer et reviens nous en pleine forme,bisous

    Madeleine c est pas "cortège" par hasard

    bonne nuit
    a demain
     
    clo854, cheyenne57, itsme64 et5 autresaiment ceci.
  9. lolo22444

    lolo22444 Demi-dieu du Forum

    Bonjour tout le monde:) +1, bon jeudi;)

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  10. lolo22444

    lolo22444 Demi-dieu du Forum

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  11. lolo22444

    lolo22444 Demi-dieu du Forum

    Parce que vous en sortez ou vous allez y entrer, je vous propose la

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    La douche est une invention mondialement connue, âgée d’environ 130 ans. La fin de la Belle Époque l’appelait « bain-douche » ou « douche en pluie ». Elle fut pour les contemporains, les hygiénistes en particulier, une révolution puisqu’elle permettait de laver une masse de population rapidement avec économie. Son inventeur le docteur Merry Delabost, était le médecin en chef de la prison Bonne Nouvelle de Rouen, là où elle fit son apparition. Le docteur Merry Delabost était un médecin-chirurgien respecté par ses pairs. Il fut entre autres choses médecin chef en chirurgie de l’Hôtel-Dieu, professeur et directeur de l’École préparatoire de médecine et de pharmacie de Rouen. Mais surtout, il fit toute sa carrière médicale au sein de la prison Bonne Nouvelle (de 1864 jusqu’à sa mort en 1918).
    Établissement de bains-douches de propreté dans la prison départementale de Rouen. Système du docteur Merry Delabost, créé en 1873
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    Annales d’hygiène publique et de médecine légale, 1888, 3e série, n° 20, p. 223.
    2Delabost était de ce fait un spécialiste de la « science pénitentiaire », représentant la France lors des Congrès internationaux pénitentiaires de Rome (1890) et de Saint-Pétersbourg (1895). Dans cette science pénitentiaire, il se concentrait principalement sur les questions sanitaires. Il est vrai que la prison rouennaise offrait un lieu d’étude approprié du fait de son univers clos et de son état hygiénique quasi inexistant. En effet la prison de cette époque était un véritable mouroir. Les interventions hygiéniques du docteur Delabost visaient à faire de Bonne Nouvelle une prison saine. Une de ces interventions est précisément la création ou plutôt l’innovation de la douche connue depuis l’antiquité. Son invention n’est pas apparue ex nihilo, une impulsion gouvernementale a été nécessaire pour son émergence. Une fois connu de tous, ce nouveau procédé d’ablution parcourut l’Europe, d’autant plus que la douche avait un effet qui n’était pas à première vue soupçonné, la moralisation, en particulier chez les enfants.
    Installation faite sous la direction du docteur Merry Delabost
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    Agrandir
    Original (jpeg, 61k)
    3En 1872, le ministre de l’Intérieur se préoccupait des conditions de vie des détenus dans les prisons françaises à la suite de la guerre de 1870 et à la Commune qui avaient entraîné une surpopulation dans les maisons d’arrêt. De plus, lors d’un voyage d’étude, les inspecteurs généraux avaient pu constater avec émerveillement dans les prisons anglaises « les résultats obtenus grâce aux soins de propreté auxquels y sont astreints les détenus ». La maison d’arrêt de Saint-Sever comptait alors 900 détenus. Elle ne pouvait en contenir autant. Ils vivaient dans une grande promiscuité et étaient d’une saleté repoussante, comme dans beaucoup de prisons françaises. Afin d’améliorer l’hygiène des prisonniers et leur santé, une circulaire du ministère de l’Intérieur, datée du 20 octobre 1872, fut envoyée aux directeurs des prisons de France, en leur demandant de faire des propositions sur les moyens de remédier à cet état sanitaire déplorable. Le directeur de la prison, Vallet, ne tarda pas à la transmettre à Merry Delabost, récemment nommé médecin-chef, en remplacement du docteur Vingtrinier. Merry Delabost qui soignait depuis huit ans les détenus de Bonne Nouvelle, s’enthousiasma pour la circulaire du ministre, d’autant plus qu’il travaillait depuis sa nomination comme médecin-chef sur l’hygiène des prisonniers, un de ses plus pressants soucis. Il existait au sein de la prison un service de « bain de propreté » obligatoire pour les détenus, mais il s’agissait d’un service limité aux prescriptions médicales dans un but thérapeutique du fait du nombre restreint de baignoires (trois). En outre, les détenus étaient généralement récalcitrants pour la prise d’un bain, selon l’avis du médecin : « la propreté [étant] une vertu [qui leur était] presque inconnue, et en tout cas, d’une pratique désagréable ». C’est au cours d’une inspection sur l’avancement des travaux pour l’installation d’une douche froide au jet, qu’une idée survint à l’esprit du docteur Merry Delabost. Cette douche était installée dans une petite cour de la prison afin de traiter les prisonniers atteints de troubles nerveux, de « folie passagère ». Il élabora la combinaison du dispositif de la douche froide à savoir un réservoir en hauteur qui augmentait la pression et diminuait ainsi la consommation d’eau, avec un jet de vapeur issu d’une pompe. Cela créait une douche à jet d’eau chaude, le jet de vapeur perdu dans les airs empruntait un tuyau en forme de serpentin réchauffant de cette façon l’eau contenue dans le réservoir. L’idée était née. Mais allait-elle être concluante ? Selon le médecin : « Un simple filet d’eau coulant d’un robinet nettoie les mains aussi bien qu’un volume d’eau assez considérable contenu dans une cuvette ; tout le monde a fait cette expérience ; or, l’eau chaude, tombant en pluie, devrait réaliser, pour toute la surface du corps, cette même propreté qu’on obtient si aisément pour une seule partie ? Quelques litres d’eau pourraient suffire au lieu de deux cents à trois cents litres qu’exige un bain en baignoire ». Après avoir soumis son idée au directeur Vallet, le docteur Merry Delabost tenta une expérience sur un des prisonniers les plus sales de la prison, choisi parmi ceux qui travaillaient dans l’atelier d’aplatissage de cornes pour la confection des boutons : « les détenus travaillant nus jusqu’à la ceinture, dans un milieu surchauffé et rempli de poussière, ne tardaient pas à prendre l’aspect de véritables nègres ». Cette expérience consista à déverser de l’eau chaude, d’un arrosoir tenu par un gardien monté sur une échelle, de façon discontinue sur le prisonnier. Celui-ci se frictionnait énergiquement au savon noir pour enlever toutes les impuretés incrustées dans l’épiderme. Pendant ce temps, les spectateurs, le directeur, le médecin, l’architecte inspecteur du département, quelques gardiens virent la couche de saleté qui recouvrait le corps se diluer, s’écouler de la tête aux pieds, et disparaître. En l’espace de quatre à cinq minutes, avec seize litres d’eau, « le faux nègre était devenu blanc ». Le docteur Merry Delabost envoya alors, vingt-trois jours après réception de la circulaire par le directeur Vallet, un rapport détaillé (avec plan et devis) sur l’expérience menée à la prison sur un détenu et sur l’installation de ce procédé dans la prison départementale de Rouen. Merry Delabost prévoyait deux salles, l’une servant aux déshabillements et aux rhabillements des détenus, l’autre salle étant exclusivement réservée au service d’hydrothérapie. Ce rapport resta sans réponse. Mais c’était sans compter sur l’obstination de Merry Delabost : « j’y mis d’autant plus d’insistance que cet établissement offrait, pour un essai de ce genre, des facilités absolument exceptionnelles et que la mesure proposée me paraissait appelée à réaliser ultérieurement un sérieux progrès dans l’hygiène des populations agglomérées, prisons, casernes, internats, etc. ». Il réitéra en février 1873 sa demande auprès du préfet de la Seine-Inférieure, Lizot, qui s’engagea à transmettre au ministre de l’Intérieur un nouveau rapport du médecin (daté du 18 février 1873). Il y insistait sur le fait que son application pouvait être faite facilement à la prison Bonne Nouvelle avec de bons résultats pour un coût peu dispendieux à l’administration pénitentiaire. Un premier devis dressé par l’architecte départemental Desmaret s’élevait à 1650 francs.
    4Le 2 avril 1873, le ministre de l’Intérieur faisait connaître dans sa réponse ses craintes sur la façon dont les détenus prendraient leurs bains-douches. Dans le plan initial, Merry Delabost regroupait les prisonniers, dans un même local sans aucune séparation entre eux. Par crainte d’une révolte de détenus regroupés, le ministre fit étudier par Borne,l’architecte contrôleur attaché à la direction de l’administration pénitentiaire, « un système de stalles où les détenus, séparés les uns des autres, pourraient être surveillés par un seul gardien ». Borne devait se mettre en contact avec l’architecte de Seine-Inférieure, Desmaret, pour apporter quelques modifications aux plans initiaux. Ce dernier a décrit les modifications dans un rapport de mai 1973 :
    « le nouveau projet que nous avons dressé, d’après les indications données par M. Borne, et les observations de M. Delabost, ne comporte plus que deux pièces ; une où les détenus se déshabilleraient ; l’autre destinée aux douches. La plus grande pièce renfermerait 9 stalles dont 8 seraient munies d’un appareil à jet d’eau chaude tombant en pluie, et d’une cuvette avec hausse pieds pour le lavage des pieds et une contenant un appareil pour douches d’eau froide ».
    5Dans une lettre au secrétaire de la Société des prisons de mai 1882 Merry Delabost décrivait son innovation :
    « Chaque détenu peut, en effet, être séparé de son voisin par une cloison en planches élevée à hauteur d’homme, de manière à n’être vu que du doucheur. Il arriverait dans cette salle, couvert du peignoir qui lui servira ensuite à se retirer et à se sécher. Dans la pièce voisine, qui servirait pour s’habiller et se déshabiller, le même cloisonnement, complété par une porte ou un rideau, avec la présence constante d’un gardien, supprime toute espèce d’inconvénient, toute possibilité de rapport entre les détenus. Telle me parait donc être la solution demandée ».
    6Toutes ces modifications avaient engendré une augmentation significative du prix de l’installation passant de 1 650 francs à 3 000 francs. Ce devis de 3 000 francs présenté par Desmaret était trop élevé pour l’administration pénitentiaire. Dès lors, l’invention semblait être compromise. Mais c’était sans compter sur la pugnacité du docteur Merry Delabost. Le préfet de Seine-Inférieure, Lizot, accepta finalement l’exécution de l’installation des bains-douches à la maison d’arrêt et de correction de Rouen, financée par les fonds propres de la prison et construite par les détenus. Fin juillet 1873, l’installation était réalisée.
    7Merry Delabost ne voulait pas que cette innovation profite seulement aux détenus. Il souhaitait l’étendre à tous lesétablissements communautaires : casernes, internats, etc., mais aussi au public. D’autant plus que les années passées auprès des détenus lui avaient montré qu’une mauvaise hygiène corporelle était nuisible à la santé et au travail. Ses observations avaient permis de démontrer que la bonne santé du détenu « permet d’exiger de lui un travail dont le produit diminue d’autant les frais de l’emprisonnement. L’argent consacré à l’amélioration de l’hygiène constitue un capital dont le profit et l’intérêt ne sauraient être contestés ». C’était l’opinion qu’il exprimait dans un article « Hygiène pénitentiaire. Bains-douches de propreté. Leurs applications dans les prisons cellulaires », dans le Bulletin de la Société générale des prisons, paru en 1888. Pourquoi ne pas l’appliquer à la population française dans son ensemble ?
    8Avant la diffusion de ce nouveau procédé d’ablution, Merry Delabost, pour faire connaître son invention, écrivit en 1875 dans les Annales d’hygiène publique et de médecine légale un article sur le fonctionnement du service d’hydrothérapie de la prison Bonne Nouvelle : « Note sur un système d’ablutions pratiqué à la prison de Rouen et applicable à tous les grands établissements pénitentiaires ou autres ». Cet article lui valut la reconnaissance de nombreux médecins hygiénistes, notamment les médecins pénitentiaires qui connaissaient les mêmes désagréments qu’à Bonne Nouvelle. De sorte que la prison de Poissy fut une des premières à revoir son installation du service d’hydrothérapie ; cela était d’autant plus simple que Poissy réorganisait au même moment son système d’ablutions. Puis ce furent la maison centrale de Fontevrault et les colonies agricoles de Saint-Maurice et de la Fouilleuse. Ces premières installations n’étaient que le début d’une expansion qui allait être florissante. Les casernes militaires furent les suivantes à pouvoir bénéficier de ce système d’ablutions en pluie.
    9En France, l’invention de Merry s’était généralisée dans les établissements pénitentiaires et les casernes militaires, mais rien n’était conçu pour la population civile. Delabost disait avec ironie : « mon procédé n’est pas à la portée de tout le monde. Il faut avoir tué ou volé, ou du moins avoir brisé une lanterne de bec de gaz ». Cependant, un peu moins de vingt ans plus tard, une société se constituait le 13 avril 1892 à Bordeaux sous le nom d’Oeuvre des bains-douches à bon marché, présidée par le maire de Bordeaux, avec son adjoint Charles Cazalet, secrétaire général de ladite société. La devise de cette société était « propreté donne la santé ».
    10Rouen ne connut son premier établissement public de bains-douches qu’en 1897. Avant il n’existait que des établissements de bains publics ; 200 baignoires pour les 300 000 habitants de la circonscription, selon une estimation de 1886. Malgré le retard de la ville de Rouen, le docteur Delabost n’en prônait pas moins les bienfaits de l’ablution d’eau chaude en pluie dans le département de Seine-Inférieure et en France. « Tant qu’il existe des infidèles à combattre ou à convertir, une croisade ne doit point cesser. Or la race des infidèles à la propreté n’est malheureusement pas près de disparaître », disait Merry Delabost en 1896. C’est grâce à l’intervention de François Depeaux, négociant rouennais, qu’une installation vit le jour à Rouen. Aux alentours de 1894, Depeaux s’entretint avec Merry Delabost au sujet d’un projet d’établissement de bains-douches sur les quais, destiné aux ouvriers du port. Plus tard, les écoles de la ville s’équipèrent en douches.
     
  12. BOUGAINVILLIER

    BOUGAINVILLIER Légende vivante du forum

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    Merci beaucoup, c'était CORTEGE !!!!!!!!!!!!!

    Grrrrrrrrrrrr, je suis comme MAGALI """n'épuisée""" mais pas pour les mêmes raisons -.-;)
     
  13. -vinie-

    -vinie- Vétéran du Forum

    Bonjour tout le monde,
    +1
    bon jeu

    Farmerama est classé 9ème sur 76.
    Il lui manque 20 votes pour dépasser le jeu MountyHall.
     
  14. thethedhs

    thethedhs Légende vivante du forum

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  15. thethedhs

    thethedhs Légende vivante du forum

    Les dictons du 12 juillet :
    Chaud juillet sur frais juin, peu de blé mais bon vin.[​IMG]
    De Juillet à Août … « Chaud juillet sur frais juin, peu de blé mais bon vin » Durant l'été, la vigne pousse très vite s'il fait chaud.


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    Juillet, orage de nuit, peu de mal mais que de bruit ![​IMG]


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    Juillet sans orage, famine au village...

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    Si juillet est chaud, prépare tes tonneaux

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    Juin fait pousser le lin, juillet le rend fin
     
  16. capu06

    capu06 Légende vivante du forum

  17. BOUGAINVILLIER

    BOUGAINVILLIER Légende vivante du forum

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    LECHARENTAIS66

    Pascale
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  18. magali51

    magali51 Légende vivante du forum

    [​IMG] vote fait ;)
    on lâche rien , le wee-kend arrive
    je félicites tout ceux qui on changer de niveau , bravo :D
    mon image du jour :
    Le Stylo à Bille : Histoire D'une Invention

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    Le stylo à bille fait partie de ces objets courants qui ont révolutionné notre quotidien. Aujourd'hui encore, cet objet pratique et peu coûteux permet d’écrire dans toutes les langues du monde et dans tous les alphabets connus.

    Le stylo à bille, aussi appelé stylo bille ou bic, est doté d’une réserve d'encre visqueuse qui s’étale sur le papier grâce à une petite bille en rotation.

    Contrairement à son prédécesseur le stylo plume, il permet d’écrire rapidement et sans faire de tâches car l'encre sèche presque immédiatement au contact du papier.

    Plus pratique, plus fiable et moins cher, ce stylo a rapidement remplacé les stylos plume, sonnant le glas de l’écriture avec des pleins et des déliés.

    Conception
    Date1888[​IMG]
    Précédé parPlume Sergent-Major[​IMG]

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    Gros plan d'une bille d'un stylo-bille commun
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    Les différentes parties d'un stylo à bille à pointe rétractable
    Un stylo à bille ou stylo-bille, parfois aussi appelé par antonomase un bic, ou simplement un stylo, est un outil servant à écrire, proche d'un crayon dans la forme et la dimension. Les stylos-bille possèdent une réserve interne d'encre visqueuse qui est étalée sur le papier lors de l'écriture par l'intermédiaire d'une petite bille (en général entre 0,7 et 1 millimètre de diamètre) mise en rotation par friction sur un support ; l'encre sèche presque immédiatement après le contact avec le papier. Peu chers, sûrs et ne nécessitant pas d'entretien, ils ont fortement remplacé le crayon à papier, le stylo-plume et éliminé la plume Sergent-Major.

    L'invention et les frères Bíró

    L'idée du stylo à bille est à mettre au profit de l'Américain, John J. Loud, attesté par un brevet qu'il déposa en 1888. Cependant son invention était loin d'être au point et son brevet devint caduc. Trente ans plus tard, en 1919 un certain Monsieur Pasquis remporta un prix au concours Lépine avec son invention d'un stylo à bille1 et déposa un brevet, mais il n'arriva pas à le mettre au point en vue d'une éventuelle commercialisation. II faudra attendre encore trente ans pour voir enfin cette idée se concrétiser. Un journaliste hongrois du nom de László Bíró, par ailleurs inventeur prolixe, aidé de son frère György, chimiste, va améliorer trois axes de l'idée initiale : l'encre, la bille et le dispositif d'alimentation2.
    Concernant l'encre, László Bíró remarque que l'encre à séchage rapide utilisée pour l'impression des journaux permet d'éviter les taches par frottement. Il essaie alors cette encre dans un stylo à plume dont un certain Slavoljub Penkala a inventé le principe en 1907, mais en vain : la viscosité de l'encre l'empêche de s'écouler.
    Ignorant les travaux, restés sans suite, de John J. Loud et de M. Pasquis, la légende dit que c'est en observant des enfants jouant avec des billes que Bíró a l'idée de mettre une bille à l'intérieur du stylo : il remarque en effet que lorsque les enfants font passer la bille dans une flaque d'eau, elle entraîne derrière elle un mince filet d'eau… C'est ainsi qu'il aurait eu l'idée de concevoir un « stylo à bille » réellement fonctionnel3.
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    bonne journée les p'tits loups ;)
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  19. itsme64

    itsme64 Empereur du Forum

    Bonjour,

    Petite proposition d'invention dans l'air du temps: LE FOOTBALL


    L'essentiel :
    L'histoire du football rend compte de la naissance et de l'évolution du football, un sport collectif apparu au milieu du xixe siècle en Grande-Bretagne et devenu au siècle suivant le plus populaire au monde.
    Les racines que ce sport partage avec d'autres jeux de « football » remontent au Moyen Âge. Il est l'héritier de la soule médiévale, pratiqué notamment dans le Nord-Ouest de la France et dans les Îles Britanniques, et du Calcio florentin, des jeux caractérisés par leur violence et leur peu de règles.
    Au début du xixe siècle, les écoles anglaises intègrent progressivement le sport à leur cursus et impulse leur formalisation. Les règles de Cambridge sont en octobre 1848 une première tentative d'unification des règles du football. Les premiers clubs indépendants apparaissent à la fin des années 900 ; en 1863, onze d'entre eux fondent the Football Association, chargée d'organiser la pratique du football en Angleterre. Elle publie peu après les premières « Lois du jeu » (en anglais : Laws of the Game), largement inspirées par celles de Cambridge.
    Dès lors, le football connait une progression continue dans sa pratique. En 1885, le professionnalisme est autorisé en Grande-Bretagne, tandis que les premiers clubs sont créés à travers le monde, particulièrement en Europe et en Amérique du Sud. La Fédération internationale de football association (FIFA) est fondée en 1904 à Paris par des représentants de sept pays européens. Encouragée par le succès populaire rencontré par les tournois de football aux Jeux olympiques, la FIFA organise en 1930 la première édition de la Coupe du monde, qui devient un des principaux événements sportifs planétaires.

    Pour en savoir un peu plus :
    Les jeux de balle existent depuis l'Antiquité. Les Grecs connaissent plusieurs jeux de balle, se pratiquant avec les pieds ou les mains : aporrhaxis et phéninde à Athènes et épiscyre (Episkyros1) à Sparte2. Chez les Romains on pratique la pila paganica, la pila trigonalis, la follis et l'harpastum. Ce dernier jeu oppose deux équipes sur un terrain rectangulaire, dans le but d'amener une petite balle au-delà des limites du camp opposé1.
    Les Chinois accomplissent également des exercices avec un ballon qu'ils utilisent pour jongler et effectuer des passes ; cette activité pratiquée sans but et en dehors de toute compétition sert à l'entretien physique des militaires (Cuju)1. Les premiers textes concernant le Cuju datent de la fin du iiie siècle av. J.-C. et sont considérés comme les textes les plus anciens liés au sport chinois3.
    Au Japon, on pratique un peu plus tard (vers le iiie siècle) le Kemari, jeu consistant à se passer une balle entre joueurs disposés en cercle, sans qu'elle ne touche terre

    À la fin du xve siècle, le calcio florentin apparaît en Italie. Lointain cousin de l'Harpastum des Romains, ses règles sont formalisées en 1580 par Giovanni Bardi : deux équipes de 27 joueurs s'affrontent sur un terrain rectangulaire, avec l'objectif de marquer plus de buts que leur adversaire pendant les 50 minutes que durent chaque rencontre, sous la surveillance d'un arbitre. Les joueurs sont pour la plupart des nobles, âgés de dix-huit à quarante-cinq ans. Dans la pratique, ce sport est un mélange des football, rugby et lutte modernes. Il est pratiqué activement au xviiie siècleavant de disparaître progressivement. La dernière partie officielle connue a lieu en 17394.
    [​IMG] Soule en Basse-Normandie en 1852
    Le football actuel trouve plutôt ses racines dans la soule (ou choule) médiévale. Ce jeu sportif est pratiqué de longue date dans les villages des deux côtés de la Manche. Il a pu arriver en Angleterre lors de la conquête normande5. La première mention écrite de la soule en France remonte à 11476 et son équivalent anglais date de 11747. Dès le xvie siècle, le ballon de cuir gonflé est courant en France7.
    Bien que longtemps interdite pour des raisons militaires en Angleterre8 ou de productivité économique en France9, la soule, malgré sa brutalité10, reste populaire jusqu'au début du xixe siècle dans les îles Britanniques et dans un grand quart nord-ouest de la France5. Le jeu est également pratiqué par les colons d'Amérique du Nord et il est notamment interdit par les autorités de la ville de Boston en 165711.
    Ce jeu primitif pratiqué par les Britanniques, héritier de la soule médiévale, est caractérisé par son peu d'organisation et son degré de violence5. Contrairement au calcio florentin, le nombre de joueurs n'est pas défini (il est dans certains cas illimité) et les limites du jeu ne sont pas bien établies. Parmi ces footballs populaires, de masse (mob-football), le football de Shrovetide, du nom des Jours gras, est notoire. Il ne compte pas d'autres règles qu'un but (amener le ballon à destination) et une règle (pas d'homicide)5.
    Une pratique codifiée de ce type de jeu a semble-t-il existé dans la cour du roi d'Écosse vers la fin du xve siècle, mais n'a cependant pas perduré12.

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  20. itsme64

    itsme64 Empereur du Forum

    Coucou,

    Où est le tour de France de Thérèse ?
    J'aime bien ce petit topo que tu nous fait tous les jours. Ca me fait penser à ma grand mère qui était fan du tour de France, elle avait une carte du parcours et suivait chaque jour les étapes avec assiduité. C'était sa façon de voyager.
    Et si un français était sur le podium c'était la cerise sur le gâteau !!

    Je me permets de te relayer
    Je vous mets un peu .. pour vous mettre l'eau à la bouche.
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    Départ BREST
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    Arrivée MUR DE BRETAGNE
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