Les tchatteurs : le réveil de la force

touché! amie nounie, touché! quand on pense "tout perdu" on pense surtout aux aspects matériels mais on peut perdre aussi l'espoir, ses droits, sa dignité, son âme... ses valeurs, qui ne sont pas nécessairement monétaires et la liste ne demande qu'à s'allonger.
parallèlement à cette histoire, même pas paradoxale, j'en ai publié un message dans la salle d'attente de la boîte à idée... j'ai bien peur qu'il laisse perplexe.

 

en notre siècle l'élocution peut se faire variable, comme la géométrie.
"je pense donc je fuis" (je vis non loin de calais!)
"je dépense donc je suis"
et peut-être encore quelques autres philosophies d'époque.

 

je partage!

 

Bonjour PoteAG, dit comme cela, çà peut faire peur!! Tu as été extirpeur de mots dans une autre vie ??

 

J'ai lu ce message! Tu proposes un rôle entre le délégué syndical et l'avocat! Je pense que çà pourrait être une bonne idée, certains joueurs volontaires pourraient s'investir d'avantage dans le jeu, par contre je ne vois pas comment BP pourrait gérer tout cela, sans compter qu'il faudrait que ces joueurs volontaires soient disponible tous au même moment.

 

Tu as raison d'avoir peur woody! Mon autre vie, c'est, en fait, maintenant, transformé que je suis en être immatériel, sorte de vampire qui, en expiation de ses fautes passées, est condamné à errer et tenter de séduire les imprudentes et imprudents qui s'approchent pour leur extirper les mots de la cervelle et s'en nourrir et s'en repaître! uuuuuuh!!!
En fait, j'étais enseignant. à ce titre, comme beaucoup d'autres, j'ai considéré que ma mission n'étais pas d'inscrire la vérité sur une ardoise vierge, ni de remplir un flacon en y versant ma connaissance mais de faire apparaître les mots que contenait déjà l'ardoise ou de cristalliser en gemmes ce qui était déjà dissous dans le fluide du flacon... quitte à l'organiser un peu.

 

pour gérer, j'avais aussi quelques idées... mais d'une part, ce n'est pas nécessairement mon rôle et d'autre part, M-Sherlock, à qui je conserve tout mon respect, a fermé le sujet au motif que cela n'apportait rien au jeu. le sujet étant fermé, je ne peux plus répondre. Peut-être que, si la fenêtre de dialogue avait été utilisée, il aurait pu en être autrement... pour me dire par exemple:"je ne vois en rien ce que cela pourrait apporter au jeu, et toi-même, qu'en penses-tu?"
je ne sais pas si tu te souviens des mots échangés ici sur le thème du mur.
cela dit je reste respectueux des règlements et ce n'est que dans leur cadre qu'on peut essayer de faire évoluer les choses.

 

BONJOUR LES AMIS !!

La vie c'est un risque ...
Seulement pour bon nombre de personnes RISQUE rime avec chute, perdre, échec.
Risquer devient un verbe qu'il faut de toute façon éviter.
Et pourtant risquer c'est s'ouvrir à la vie, risquer c'est se nourrir de joie.
Risquer c'est faire un pas en avant.
Risquer c'est s'autoriser à ouvrir une porte pour grandir et voir d'autres paysages.
Certes, on chute parfois mais c'est pour mieux se relever et continuer d'avancer.
On chute d'ailleurs souvent parce que le risque n'existe plus, on chute parce que la vie devient fade, sans saveur.
On chute parce qu'on ne voit plus clair, prisonnier de l'obscurité que le "sans risque" nous fait courir.
Alors risquons le bonheur ... On a rien a perdre mais tout à gagner.
Belle journée de risque

 

Etre prof ne comporte pas que des désavantages. Les élèves, malgré tous leurs défauts, mettent manifestement tout en oeuvre pour divertir leur correcteur. La preuve avec ces quelques copies d'élèves hilarantes

 

bonsoir à toutes, bonsoir à tous, bonsoir cantal,
c'est tellement beau, ce que tu écris.
comme d'habitude est-on tenté de penser; mais non, on ne s'habitue pas à la beauté, on la savoure.
je vais aussi écrire sur le sujet, nécessairement de manière moins poétique que la tienne, à chacun sa manière.
la vie c'est un risque ou plutôt, la vie c'est le LE risque. à chaque instant, à chaque pas, ne serait-ce que celui de se tromper de voie.
et puis réciproquement, le risque, c'est la vie... pas de vie, pas de risque, à tel point qu'on se demande si un univers sans vie, donc sans conscience, peut avoir une réelle existence. de toutes façons, on vit et on est conscient donc la question est obsolète.
Il y a identité entre le risque et le vie; l'un est l'autre et l'autre est l'un.
alors, est-il souhaitable de chercher à éliminer le risque, même si certains s'y emploient?

 

bonsoir flûte,
elles sont toutes excellentes, à tel point que je ne sais laquelle citer! j'en ai aussi tout un bagage de souvenir, mais je n'ai jamais eu cette idée d'en faire un florilège... dommage!
celles qui me reviennent, plus ou moins partiellement, sont bien sûr comiques, désopilantes... mais aussi inséparables de caractères et des personnalités, souvent naïves, toujours attachantes... j'arrête, je suis en train de m'attendrir sur moi-même et mon histoire.

 

Euhh ben c'est pas grave! Ce sont des choses qui arrivent! C'est peut être un risque aussi!

 

C'est beau la passion du métier. De mémoire je ne me souviens pas avoir eu un prof qui été habité par ce qu'il disait, c'était plutôt le contraire, je me souviens notamment d'un prof d'allemand qui s'amusait à jouer avec ce qui lui coulait du nez (désolée pour le corps enseignant mais çà existe!). J'aurais préféré avoir un prof comme Mr Keating dans le Cercle des Poètes Disparus ou pourquoi pas comme Polochon dans Les Profs, au moins j'aurais pu rire un peu!

 

Et heuuu ♪Flute♪, tu peux me rendre mes anciennes copies??

 

Est-ce que c'est c'est réellement une histoire de langue?

 

Et sur qui est-ce que tu avais copié?

 

Ben visiblement pas sur la bonne personne mais bon c'est un risque à prendre aussi de ne pas savoir les réponses et de copier sur quelqu'un qui en a mais qui ne sont pas forcément les bonnes!
(et désolée le message est parti de ma seconde ferme)

 

peu importe d'où ils ont été émis... serait-ce encore de l'intérieur de la lune, où, comme d'autres que je connais, tu te réfugies peut-être quelquefois... le bonheur est qu'on les reçoive!

 

Bjr!
Ou simplement que quelqu'un le perçoive, ce bonheur..

 

entre le per et le re, penses-tu qu'on peut avoir déniché son repaire?